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enzo 54 ans | Montpellier Hérault | Non classé | 1m72, 69 kg
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L'homme jouit du bonheur qu'il ressent, et la femme de celui qu'elle procure.
Le plaisir de l'un est de satisfaire des désirs, celui de l'autre est surtout de les faire naître.

cette citation n'espas de moi biensur mais si vous trouvez on on aura deja un point commun
Commentaires 8
christy34300 COMPTE SUPPRIMÉ
Vendredi 15 Juin 2012 à 22:55
bon week end
Kara.la.douce COMPTE SUPPRIMÉ
Vendredi 06 Avril 2012 à 07:43
Madame de Rosemonde à la présidente Tourvel
Et pourquoi, ma chère belle, ne voulez-vous plus être ma fille ? pourquoi semblez-vous m’annoncer que toute correspondance va être rompue entre nous ? Est-ce pour me punir de n’avoir pas deviné ce qui était contre toute vraisemblance ? ou me soupçonnez-vous de vous avoir affligée volontairement ? Non, je connais trop bien votre cœur, pour croire qu’il pense ainsi du mien. Aussi la peine que m’a faite votre lettre est-elle bien moins relative à moi qu’à vous-même !
O ma jeune amie ! je vous le dis avec douleur ; mais vous êtes bien trop digne d’être aimée, pour que jamais l’amour vous rende heureuse. Hé ! quelle femme vraiment délicate & sensible n’a pas trouvé l’infortune dans ce même sentiment qui lui promettait tant de bonheur ! Les hommes savent-ils apprécier la femme qu’ils possèdent ?
Ce n’est pas que plusieurs ne soient honnêtes dans leurs procédés & constants dans leur affection : mais, parmi ceux-là même, combien peu savent encore se mettre à l’unisson de notre cœur ! Ne croyez pas, ma chère enfant, que leur amour soit semblable au nôtre. Ils éprouvent bien la même ivresse ; souvent même ils y mettent plus d’emportement ; mais ils ne connaissent pas cet empressement inquiet, cette sollicitude délicate, qui produit en nous ces soins tendres & continus, & dont l’unique but est toujours l’objet aimé. L’homme jouit du bonheur qu’il ressent, & la femme de celui qu’elle procure. Cette différence, si essentielle & si peu remarquée, influe pourtant, d’une manière bien sensible, sur la totalité de leur conduite respective. Le plaisir de l’un est de satisfaire ses désirs, celui de l’autre est surtout de les faire naître. Plaire, n’est pour lui qu’un moyen de succès ; tandis que pour elle, c’est le succès lui-même. Et la coquetterie, si souvent reprochée aux femmes, n’est autre chose que l’abus de cette façon de sentir, & par là même en prouve la vérité. Enfin ce goût exclusif, qui caractérise particulièrement l’amour, n’est dans l’homme qu’une préférence, qui sert, au plus, à graduer un plaisir, qu’un autre objet affaiblirait peut-être, mais ne détruirait pas ; tandis que dans les femmes, c’est un sentiment profond, qui non seulement anéantit tout désir étranger, mais qui, plus fort que la nature, & soustrait à son empire, ne leur laisse éprouver que répugnance & dégoût, là-même où semble devoir naître la volupté.
Et n’allez pas croire que des exceptions plus ou moins nombreuses, & qu’on peut citer, puissent s’opposer avec succès à ces vérités générales ! Elles ont pour garant la voix publique, qui, pour les hommes seulement, a distingué l’infidélité de l’inconstance : distinction dont ils se prévalent, quand ils devraient en être humiliés ; & qui, pour notre sexe, n’a jamais été adoptée que par ces femmes dépravées qui en font la honte, & à qui tout moyen paraît bon, qu’elles espèrent pouvoir les sauver du sentiment pénible de leur bassesse.
J’ai cru, ma chère belle, qu’il pourrait vous être utile d’avoir ces réflexions à opposer aux idées chimériques d’un bonheur parfait, dont l’amour ne manque jamais d’abuser notre imagination ; espoir trompeur, auquel on tient encore, même alors qu’on se voit forcé de l’abandonner, & dont la perte irrite & multiplie les chagrins déjà trop réels, inséparables d’une passion vive ! Cet emploi d’adoucir vos peines, ou d’en diminuer le nombre, est le seul que je veuille, que je puisse remplir en ce moment. Dans les maux sans remèdes, les conseils ne peuvent plus porter que sur le régime. Ce que je vous demande seulement, c’est de vous souvenir que plaindre un malade, ce n’est pas le blâmer. Eh ! qui sommes-nous, pour nous blâmer les uns les autres ? Laissons le droit de juger à celui-là seul qui lit dans les cœurs ; & j’ose même croi
croissant2lune COMPTE SUPPRIMÉ
Vendredi 04 Novembre 2011 à 18:41
merci
adrenaline22 COMPTE SUPPRIMÉ
Lundi 08 Août 2011 à 15:20
:B :B :B
mel3001 COMPTE SUPPRIMÉ
Dimanche 05 Décembre 2010 à 01:25
jean marc bare !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ouaiiiiiiiiiiii ;) ;) :p :p
mutyne COMPTE SUPPRIMÉ
Jeudi 09 Septembre 2010 à 19:52
Falais oser la dernière......... :p :p :p pas mal
adrenaline22 COMPTE SUPPRIMÉ
Lundi 16 Août 2010 à 11:36
je te souhaite la bienvenue ;) passe une belle semaine
L.aur2a.x3 COMPTE SUPPRIMÉ
Lundi 16 Août 2010 à 10:54
x ` . COUCOU , LAURA TE SOUHAiiTE LA BiiENVENUE SUR MiiSS 34 :: UN SiiTE AVEC BEAUCOUP DE RAGEUX && RAGEUSE ! Sii TU AS L'OCCASiiON PASSE SUR MA FiiCHE ET LAiiSSE TA TRACE :: VOTE , COMMENTAiiRE , MESSAGE OU RiiEN DU TOUT Sii SA TE CHANTE ;; 8> ET SANS OUBLiiER :: BiiSOUS BY L. :B