| | Réponses 166 | PAGE ... 14 15 16 17 | | | FORUM ACTUS 2012 : avant la fin du monde, les éléctions ! c'est ICI ! | Scofield13300 COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 11 Octobre 2011 à 02:30 |
| | www.dailymo...mbediframe Outch, les larmes de Royal, toute la dureté d'une déception électorale qui s'exprime. Je suis loin d'en être fan, mais on peut pas lui enlever sa grinta, ça m'émeut ces images. Bon sinon, je suis écoeuré... Montebourg qui se fait mousser avec sa démondialisation... J'attends un gros fuck de François avec une phrase dont il a le secret... Un truc du style "nous essaierons de mondialiser certaines idées d'Arnaud mais le repli sur soi n'est pas digne d'un pays comme la France" Et bim, go François | |
| Rice-Krispies COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 11 Octobre 2011 à 09:40 |
| | Et bah dis donc! Je me demandais si les gens allaient en parler un jour ici^^ Les larmes de Royal oui peuchère, en attendant ses groupies sont sacrément remontés. On va se retrouver avec Aubry on va rien comprendre. Haha! | |
| Scofield13300 COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 11 Octobre 2011 à 14:09 |
| | Depuis le début, je regrettais que personne au PS (à part Valls) ne condamne fortement l'idée de démondialisation de Montebourg... Alors maintenant, avec son score... ils vont lui lécher les bottes et le poste de premier ministre va sûrement lui être promis... Il a quelques idées intéressantes (taxation des transactions financières, note socio-environnementale des entreprises, meilleure répartition entre salaires et dividendes, cours scolaires en petits groupes, etc) Mais c'est des idées qui doivent être posées sur la scène internationale, sinon tu casses l'attractivité et la compétitivité des entreprises françaises. Et faire du protectionnisme, c'est d'un autre temps... on a vu ce que ça a donné après 1929... Un pays comme la France se doit de chercher la compétitivité (comme l'Allemagne) et non le protectionnisme. L'enjeu clé n'est pas la démondialisation ou le protectionnisme mais plutôt l'innovation, la formation, le développement d'offres écologiques à prix abordables, la mise en place de réformes sociales et environnementales sur la scène internationale, etc. En se faisant aspirer par Montebourg, le PS va partir dans un truc bancal je sens... Et j'espère qu'ils sont conscients que la campagne s'annonce difficile, sarko reste un candidat très solide, faut pas croire que l'élection est jouée. Perso, je ne sais pas encore pour qui je voterais, mais j'ai toujours été fasciné par la puissance de la com qui pousse les candidats à promettre "le changement", à descendre plus bas que terre les président en exercice, etc. Alors qu'au fond d'eux, ils savent sûrement très bien que le métier de Président est très difficile à gérer, qu'il y a un contexte à prendre en compte, divers intérêts qui s'affrontent, etc. Quand t'es dans l'opposition, c'est facile de dire "on trouvera des accords avec Merkel, on régulera la sphère financière, on laissera des banques crever sans perturber l'économie, on augmentera les aides sociales sans augmenter la dette, etc, etc. Mais une fois au pouvoir, tu fais moins le malin... D'ailleurs, Mitterrand avait fait campagne sur la relance, et en voyant que ça marchait pas dans une économie ouverte, il est passé à la rigueur en 1983. Ca devrait donner quelques leçons de modestie en principe Tony Blair l'a bien montré dans son livre... Etre dans l'opposition et dans un objectif de com réussi n'a rien à voir avec le fait d'être au pouvoir et d'être dans un objectif d'action (même s'il y a encore aussi de la com). | |
| Scofield13300 COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 11 Octobre 2011 à 14:21 |
| | Royal, là où c'est dur pour elle, c'est qu'elle a compris qu'avec le système des primaires, elle ne serait jamais élue Présidente car les électeurs du même camps politique redonnent rarement une 2eme chance (on le voit aux Etats-Unis, Nixon fut l'exception confirmant la règle) D'un coté, c'est positif car ça permettra à des jeunes de s'imposer plus facilement. D'un autre côté, ça risque d'en griller certains qui mériteraient une 2eme chance mais qui auront du mal à l'obtenir avec la méfiance de l'électorat vis à vis des anciens perdants. | |
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