| | Réponses 1 | | | | FORUM ACTUS Nouvelle expertise quant à l'explosion de l'usine AZF. | Tous.rejoindront.l.unite.un.jour COMPTE SUPPRIMÉ Vendredi 31 Août 2012 à 21:46 |
| | www.sudoues...2-4697.php Les trois premiers paragraphes : "Le dernier numéro de la revue « Préventique » contient une bombe en trois lettres : AZF. Spécialisé dans le droit du danger et le management du risque, le bimestriel animé par l'universitaire girondin Hubert Seillan publie en exclusivité les résultats des recherches conduites par Laurent Jacob, polytechnicien et ingénieur retraité de l'armement. L'équipe d'experts réunie par cet ancien dirigeant des usines de la Compagnie française de l'azote dynamite la version officielle, déjà bien mal en point, de l'accident chimique. Mais elle propose surtout un nouveau scénario pour expliquer la catastrophe du 21 septembre 2001. Première explosion à la SNPE Solidement étayé, il repose sur la thèse d'une première explosion ayant précédé celle du fameux hangar 221, où était stocké le nitrate d'ammonium. Elle se serait produite au sein des installations de la Société nationale des poudres et explosifs (SNPE), voisines de celles d'AZF. Une fuite de 10 tonnes d'ergol, le carburant des fusées, serait à l'origine de cette déflagration et du séisme qui a suivi. Les vibrations du sol auraient ensuite déclenché l'explosion de deux bombes dormantes issues des frappes aériennes de l'aviation anglaise pendant la Seconde Guerre mondiale. Les auteurs n'excluent pas, en outre, que la fuite d'ergol puisse être liée à un projet d'attentat. Tous ces éléments ont de quoi interpeller la justice, à quelques semaines de l'arrêt que doit rendre la cour d'appel de Toulouse dans le procès AZF. Le parquet a une nouvelle fois requis les condamnations pour homicides involontaires de la filiale de Total qui exploitait l'usine et de son directeur. En s'accrochant à la thèse du mélange de deux produits incompatibles privilégiée par le juge d'instruction Thierry Perriquet, en dépit du scepticisme de la communauté scientifique et… du tribunal correctionnel de Toulouse !" | |
| |
|